





































L’ordre du monde s’établit dans l’envers, l’endroit, le courbe, le droit, la nuit le jour, le défini et l’infini… Le construit, le déconstruit.
Mes architectures se détachent du ciel, progressent, triomphent dans la pureté de la lumière et, renversées deviennent masses inquiétantes, relevant d’un ordre «défiguré», où brille le soleil noir d’un monde où l’obscurité progresse, irrémédiablement.
Pourtant les hommes, ayant les données du désastre et au fait du chaos, marchent, sous cette éclipse, vers ce qui les perdra, malgré un timide réveil des consciences…
Soleil noir, s’il en est, seuls les oracles nous diront l’avenir, si la nature reprend ses droits, reprend l’ordre dans le chaos.